Nous remarquons le lavoir municipal et le garage de M Marais.
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Actuellement |
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Actuellement |
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1962 |
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1965 |
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Photo de Frédéric Bocé, photographe |
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Source: Archives départementales du Calvados |
Texte paru dans "l'Ami de la Religion et du Roi" de 1820.
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Les séminaristes en villégiature à Meuvaines |
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Un diplôme remis au petit séminaire. |
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Un des textes scellé dans la première pierre |
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Une compilation de certains vitraux |
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Soldats belges |
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Photos extraites d'un document présentant la maison de retraite.![]() |
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Monin Romain - Oeuvre de Charles Boileux |
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Acte de naissance |
Le docteur Monin ne fit guère de médecine à Blois qu'en faveur
des pauvres, et presque tout son temps se trouva ainsi absorbé par son œuvre de
dévouement. Il consacra les rares loisirs qui lui étaient faits à explorer les
environs immédiats de Blois et sut y découvrir un bon nombre d'espèces
intéressantes ; il servit souvent de guide aux botanistes de passage à Blois,
qui trouvaient toujours auprès de lui l'accueil le plus bienveillant.
Le docteur Monin est mort à Blois, le 26 juillet 1860, laissant de grands souvenirs de désintéressement et de dévouement dans la ville où il était venu se fixer.
Durant son séjour à Saint-Pétersbourg, il s'était lié avec les
botanistes russes les plus en renom, et il reçut d'eux un grand nombre de
plantes très peu répandues à cette époque dans les herbiers. C'est ainsi que de
Prescott lui donna des plantes de l'Altaï ; Fischer une grande quantité de
plantes de Sibérie ; Turczaninoff lui fit parvenir à Blois presque tous les
types du Flora Baicalensi-Dahurica.
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Acte de naissance |
Le Droit du 28 mai 1836
Mercredi dernier, quatre industriels de Bayeux se rendirent au marché de Creully, pour y exercer leur savoir-faire aux dépens de qui il appartiendrait. Après avoir rassemblé le plus qu’ils purent de souliers, de sabots, de bas, de mouchoirs et de rubans, ils se remirent en route, emportant leur butin dans un bissac et un panier à bras. Mais leur genre de commerce n’avait pas échappé à tous les yeux, et ils étaient à peine arrivés à St-Gabriel, qu'ils aperçurent les gendarmes courir après eux. Prendre la fuite n’aurait fait que confirmer les soupçons ; ils jugèrent plus prudent de cacher les objets accusateurs dans un fossé, où ils furent bientôt découverts. Les voleurs, après avoir subi un premier interrogatoire devant M. le juge de paix, ont été amenés jeudi à Caen, et mis à la disposition de M. le procureur du roi.
Ces quatre individus, qui ont fini
si mal une journée si bien commencée, sont les nommés Abel Morin, Caroline
Liégard, veuve Boudray, Marie Morel et Marguerite Esther Yvonnet.
On assure que cette dernière n’est
autre que la fille Yvonnet, confidente de l'assassin de Mlle Thouroude, de ce Lemaire de Clermont,
qui acquit une si horrible célébrité dans notre ville, il y a treize à quatorze
ans.