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Creully sur Seulles - Comment était l'église Saint Rémy de Fresnay le Crotteur...


Emplacement de l'édifice
La découverte des restes de l'église St Rémy de Fresnay (Fresné) le Crotteur à Creully sur Seulles a réveillé en moi l'âme du "chercheur". Grâce aux travaux de J.J. Bertaux et L. Musset, j'ai retrouvé à la Médiathèque de Bayeux les textes qui suivent.
Pierre Fontaine et François de Cussy visitèrent le 1er juin 1769 le chœur de cette église dédiée à saint Rémy. L’église de Fresné, sans doute déjà ruinée, a été démolie en 1821. Ses pierres ont servi à réparer le mur du cimetière de Saint-Gabriel, et le surplus fut cédé à un sieur Pierre Rocque, de Coulombs. La paroisse est annexée à la com­mune de Saint-Gabriel depuis 1827.

« Ce chœur contient 27 pieds de longueur sur 12 pieds de largeur et 15 pieds de hauteur de costière sous égout, construit en maçon­nerie, mortier de chaux et sable, couronné d’un comble de charpente à égout de part et d’autre, couvert en grosse ardoise avec un rond- point au bout au levant. L’autel est placé à 6 pieds de distance du rond-point, pour former une sacristie derrière. Ledit autel et contre table sont en menuiserie de bois de chêne décoré de deux colonnes cannelées d’ordre corinthien, avec pieds d’estaux, base, cha­piteau et corniche ; au-dessus de ladite corniche et dans son milieu est une toile, représentant Notre Seigneur resuscité. Le tabernacle est aussi en menuiserie, au-dessus duquel est un grand tableau peint sur toile représentant saint Rémy ; aux deux côtés de l’autel sont deux portes en menuiserie servant d’entrée à la sacristie. Le marche­pied d’autel est aussi en menuiserie, au-devant duquel sont trois marches en pierre faisant avant-corps dans le milieu et formant le sanctuaire. Le tout est pavé, ainsi que la sacristie, en pavé de pierre de plusieurs échantillons, avec cinq tombes dans le chœur, et est éclairé d’une croisée au Midi et une au Nord dans le rond-point.
Le tout voûté en menuiserie de sapin sous la charpente. Le bout du chœur est terminé du côté de la nef par une arcade sans fermeture ni stalle pour M le curé. »

La rustique simplicité de l’autel et du retable, l'absence de sacristie, conviennent
L'église de Carcagny
parfaitement à une infime paroisse qui comptait 12 feux. Il n’en est que plus curieux de constater que l’église comportait une abside semi-circulaire (« rond-point ») qui manque dans la plupart de nos églises rurales et qui, d’ailleurs, ne figure pas sur le plan très schématique du cadastre napoléonien : sans doute était-ce une construction romane, comparable à celle de Carcagny, par exemple, que la médiocrité des ressources du village n’avait pas permis de remplacer à l’époque gothique. Rappelons à ce propos que l'église Saint-Rémi de Fresné figure déjà dans la pancarte de Saint-Gabriel (1058-1066
).


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Creully sur Seulles - Les travaux de la tour de St Thomas de Saint-Gabriel-Brécy.

Les travaux de restauration de maçonnerie de la tour de style ogival de Saint Thomas de Saint-Gabriel-Brécy se terminent.

Voici les derniéres phases de pose de la pointe.
En recherchant les dates des anciens travaux sur le clocher, j'ai retrouvé trace dans les délibérations du conseil municipal de Saint Gabriel de la réféction du beffroi qui supporte les cloches par l'entreprise Rambert de Creully.
Une visite aux Archives départementales du Calvados m'a permis de retrouver le devis du serrurier de Creully.

Je remercie  l'entreprise "Maisons d'Histoire", en particulier Loïc Paysant et Didier Gildemyn. 


 

Voisin de Creully, le moulin de Saint-Gabriel-Brécy

La découverte de  ce document du moulin d'Eugène Roussel me permet de vous présenter l'association qui s'est attachée à sa restauration.
 l'Association du Moulin de Saint Gabriel
L'association veut :
- contribuer à la restauration, la conservation et l'entretien du moulin.
- organiser des manifestations d'intérêt culturel, artistique, historique, économique ou touristique.
http://association-du-moulin-de-saint-gabriel.e-monsite.com

Creully sur Seulles - Découverte aux Archives Départementales... regards sur nos monuments vers 1902.

Allez aux  Archives Départementales du Calvados est toujours pour moi l'occasion de découvertes imprévues lors de mes recherches pour mon blog "creully.net". 

Lors d'une de mes dernières visites j'ai trouvé des photographies  de Creully (Creullet), Saint-Gabriel-Brécy et Secqueville en Bessin. Photos de Marie Brault datant de 1902 - 1904.

La page de l'album.
Le portail du château de Brécy
Le prieuré de Saint-Gabriel 
Entrée du prieuré de Saint-Gabriel.
Détail du parc du château de Creullet à Creully.
Eglise de Secqueville en Bessin


 



Creully, saint Gabriel-Brécy et Villiers le Sec se sont regroupés autour de la Seulles. (Creully sur Seulles)

A travers le texte d'un ancien livre de géographie sur le Calvados, je vous présente, sur ses 50 kilomètres, notre rivière qui arrose Creully, saint Gabriel-Brécy et Villiers le Sec : la Seulles
La Seulles, qui passe sur les arrondissements de Vire, de Caen et de Bayeux, a sa source dans le Calvados, au  pied des buttes ou bruyères de Jurques.
Cette commune, comme celle de Saint-Pierre-du-Fresne qui est contiguë, présente des coteaux, des
vallons, un sol accidenté, et le tout très pittoresque.
Un de ses bois renferme une pierre énorme, appelée la pierre de Dialan, on suppose qu'elle servait aux druides pour leurs sacrifices.
Au sortir de Saint-Pierre-du-Fresne, la Seulles rencontre, dans son cours, Coulvain et Cahagnes. Là, elle quitte l'arrondissement de Vire pour celui de Caen, qu'elle trouve à Amayé-sur-Seulles. A Anctoville, elle est déjà sur celui de Bayeux. Tout en servant de limite à l'un et à l'autre, elle envoie ses eaux dans les communes de Feuguerolles-sur-Seulles, Saint-Louet-sur-Seulles, Sermentot et Villy-Bocage (rive droite); de Hottot-les-Bagues et de Saint-Vaast (rive gauche).
Elle arrive ainsi à Juvigny, où elle traverse les routes départementales de Bayeux à Villers-Bocage, et de Caen à Caumont, sous un beau pont en granit, de construction récente. Juvigny doit à cette jonction des routes une certaine importance. Tout près de cette localité, à Fontenay-le-Pesnel, on exploite avec activité des fours à chaux et des carrières calcaires qui fournissent des pavés résistants.
La Seulles apporte à Juvigny un certain volume d'eau qu'elle doit à plusieurs affluents. Se sont, à gauche, le Calichon et le ruisseau de Candon ou de Cliquet, qu'elle reçoit, celui-ci à Sermentot, celui-là à Ancto­ville. Le Calichon alimente deux moulins à blé, l'un à Briquessart, hameau de la commune de Livry, et autrefois un gros bourg. La mesure de Briquessart était, paraît-il, une des plus anciennes du royaume. On cite le baron de ce bourg parmi les seigneurs qui se liguèrent, en 1047, contre Guillaume. Il avait un château important sur le bord de la vallée du Calichon. Les affluents de la Seulles, rive droite, sont d'abord La Seuline, une rivière assez importante, qui sort des bois de Saint-Georges-d'Aunay, arrose Maisoncelles-Pelvey, Tracy-Bocage, Villers-Bocage, Saint-Louet-sur-Seulles, Villy-Bocage, où elle se jette dans la Seulles, après avoir fait marcher deux moulins à blé. Le second affluent est le ruisseau du Coisel, dans la commune de Saint-Vaast.
Les communes traversées par la Seulles et par ses affluents  produisent des céréales et  des pommes à cidre; dans les vallées se trouvent des prés qui ne sont pas classés parmi les terres les meilleures des environs; l'herbe y est  molle,  peu nourrissante. Il serait souvent difficile de les drainer, le sol étant, en beaucoup d'endroits,   au-dessous des cours d'eau.   Cependant, vers Saint-Vaast, le terrain  s'améliore.
Cette commune paraît avoir eu jadis une certaine importance. Des fouilles, pratiquées pour le dé­frichement des bois et l'extraction du galet roulé, y ont mis à jour les fondements d'anciennes murailles qui passent pour avoir fait partie d'un camp romain.
Des souvenirs religieux se rattachent aussi à Saint-Vaast. Vers 865, les habitants de Macé, près d'Alençon, vinrent y  déposer  les  reliques de Saint Raven   et de Saint Rasiphe. En 1047, Hugues, évêque  de Bayeux, averti par la   révélation  d'un  religieux,   alla processionnellement lever leurs corps, qu'il trouva à 20 pieds de profondeur,   enveloppés dans une peau de cerf.
Les populations implorent  encore  l'intercession  de ces deux saints en faveur des fruits de la terre, surtout contre les ravages des mans ou vers blancs.
Saint-Vaast avait un château fort. Il en reste des vestiges près de l'église, dont quelques parties seulement appartiennent au style roman, et d'autres peut-être au XIIIe siècle. Le seigneur du lieu été nommé à la cure de Saint-Vaast. Quand l'évêque de Bayeux venait prendre possession de son siège, les châtelains de Saint-Vaast et de Beaumont, devaient le conduire depuis le prieuré de Saint Vigor-le-Grand jusqu'à la cathédrale. Le premier tenait, la gauche, le second, la droite du prélat.
En 1356, les Anglais s'emparèrent du château fort de Saint-Vaast. Nos pères eurent alors à subir toutes les horreurs de l'invasion; les moulins et les maisons furent brûlés. On fuyait ; dans plusieurs communes, il ne resta que les vieillards; les morts étaient sans sépulture ; pendant plusieurs années, les terres demeureront incultes. Au milieu de cette désolation, il y eut comme un élan de patriotisme qui porta les habitants des communes voisines à se réunir pour racheter le château de Saint-Vaast et délivrer ainsi le pays de la garnison ennemie.
Dans cette contrée, comme le patriotisme, la charité se manifestait, et, en 1374, elle inspirait la créa­tion, à Juvigny, d'un petit Hôtel-Dieu ou prieuré hos­pitalier, sous le titre de Sainte-Apolline. Il n'existe plus. Mais le pays ne cesse, de trouver des bienfai­teurs dans la famille qui possède le château de Juvigny. Il y a là une construction considérable, à laquelle conduisent de longues avenues, et qu'entourent une belle terre, des promenades et de vastes allées.
De Juvigny, la Seulles descend à Tilly, en prenant, sur son passage, le ruisseau du Bordel. Récemment encore, tout près de notre rivière et du bourg, s'élevait, au milieu de riches prairies, un des châ­teaux les plus considérables de la Basse-Normandie. Il a disparu, comme tout ce qui se rattachait à l'antique seigneurie de Tilly-sur-Seulles.
Elle eut surtout à souffrir de l'invasion anglaise, pendant la guerre de cent ans. En 1418, le château et le domaine de Tilly qui appartenaient à Philippe d'Harcourt, furent confisqués et donnés à Jean Gray, che­valier. En 1422, Henri V prescrivit, au Bailly de Caen de raser le château.
Après l'expulsion de l'étranger, la terre et la châtellenie de Tilly passèrent en diverses mains. Le château démoli, il y a quelques années, avait été reconstruit, avant la révolution, par M. de Fontette, intendant de la généralité de Caen.
Des transformations successives ont été également apportées à l'église actuelle dont la nef, ou la partie la plus ancienne, date au moins du XIe siècle. Elle était sur la paroisse Saint-Pierre, que la Seulles séparait autrefois de celle de Saint-François.
En quittant Tilly pour s'engager d'abord dans l'arrondissement de Bayeux, cette rivière laisse sur sa rive gauche Bucéels, Chouain, Condé-sur-Seulles et Nonant; sur sa rive droite, Audrieu, Ducy-Sainte-Marguerile et Carcagny. Elle traverse ensuite les communes de Vaux-sur-Seulles, Esquay-sur-Seulles, Vienne, et elle va délimiter les deux communes de Villiers-le-Sec et de Saint-Gabriel.
Là, un moulin assez important lui emprunte ses eaux, qui coulent tout près de l'antique prieuré de Saint-Gabriel. Ce n'est plus qu'une ruine, mais « une des plus belles du département » a dit M. de Caumont. Il avait été fondé au XIe siècle, en faveur de l'abbaye de Fécamp, par Richard, fils de Tursting,  seigneur de Creully.
Ce bourg,  aujourd'hui  chef-lieu  de canton, possédait autrefois un doyenné, une baronnie et une sergenterie. Son église est assez intéressante, et son châ­teau passe pour avoir été  « une des  anciennes forteresses les plus remarquables du Calvados.»
Il y eut souvent chez les seigneurs de Creully, autant de patriotisme que de bravoure. En 1047, Hamon, l'un d'eux, combattit vaillamment et fut tué au Val-des-Dunes. Guillaume-le-Conquérant et Guillaume-le-Roux eurent en grande estime Robert Hamon, son fils. Aussi, pour reconnaître ses services, lui donnèrent-ils les comtés et seigneuries de Glocester et de Bristol en Angleterre. Un Philippe, baron de Creully, fut re­nommé parmi les chevaliers bannerets, qui vivaient du temps de Philippe-Auguste, en 1210.
A l'époque de la première invasion anglaise, le château  de Creully, comme toutes les places fortes des  bords de la Seulles, excita la convoitise de l'ennemi. Trop faible pour l'arrêter, Richard n'hésita pas à démanteler sa demeure. Conduits par Philippe de Navarre les anglais s'y établirent. C'était en mars 1357. Ils ne restèrent pas longtemps. Au mois d'août, Richard fils et quantité de gens d'armes vinrent les pourchasser. Tous ceux qu'ils trouvèrent furent  tués ou faits prisonniers, et   le vainqueur  rentra dans son château.
De nouveaux  malheurs désolèrent bientôt la France. Le 1er août 1417, Henri V débarquait à l'embouchure de la Touques. Honfleur, Lisieux, Caen, Bayeux, Coutances, Falaise, Argentan, Alençon tombèrent en son pouvoir. Creully eut à subir le même sort. Il fallut le triomphe de Formigny pour le délivrer entière­ment de l'envahisseur.
Ces assauts successifs et des constructions posté­rieures ont fait perdre à cette antique forteresse une partie de son aspect primitif. Cependant on peut reconnaître encore des vestiges du monument et suivre le développement des remparts, si l'on se place au delà du moulin, sur le pont de la Seulles. L'effet produit est des plus pittoresques.
Un autre, côté du tableau, toujours plein de vie, c'est le cours de la rivière et le volume d'eau con­sidérable qu'elle charrie à travers les prairies. Elle se précipite à côté de Tierceville, vers Amblie, Colombiers-sur-Seulles et Reviers.
Depuis Vaux-sur-Seulles, près des lieux où elle arrive sous le canton de Ryes, au pied du plateau qui borde le littoral de l'arrondissement de Bayeux et sert de contrefort à ses hautes falaises, elle cesse de marcher vers la mer pour se porter du côté de l'Est. A partir de Reviers, elle reprend sa direction première, contourne l'extrémité du plateau dont nous venons de parler, et se divise, en deux branches bientôt réunies, lorsque les collines qui ferment la vallée se rejoignent sous Banville. Elle va se jeter enfin dans la mer, à Courseulles, en face des rochers du Calvados.
Jadis elle avait son embouchure sur la limite de la commune de Bernières, au lieu nommé la Cassine, et où Graye se terminait. Courseulles n'allait pas alors jusqu'à la mer. Mais les marais traversés par la rivière se desséchant peu à peu, l'agriculture, l'in­dustrie huîtrière et les besoins de la navigation ont fini par porter l'embouchure de la Seulles en face de cette commune. Puis, en 1835, furent entrepris les travaux du port. Le vieux lit de la rivière, une partie des parcs à huîtres durent alors céder leur place à un avant-port; des jetées élevées pour en protéger l’en­trée, un bassin à flot récemment achevé ont fixé dans cet avant-port l'embouchure de la Seulles.

 

11 Mai 1937 - Hommage au Centre Horticole de Saint-Gabriel (Creully sur Seulles)

Dans son édition du 12 mai 1937, le journal "L'Ouest-Eclair" rend compte de la séance du Conseil Général du Calvados du 11 mai pendant laquelle fut rendu un hommage au Centre Horticole de Saint Gabriel.

Des plans de 1770 de communes voisines de Creully sur Seulles

Les Archives du Calvados renferment des joyaux. Comme ces plans de communes voisines de Creully datant de 1770 que j'ai découvert lors de recherches pour fournir ce blog.

Ci-dessous, les communes et leur plans.



AMBLIE

LE CAINET (Le Fresne Camilly)

COULOMBS

CREULLY

CULLY

FRESNE LE CROTTEUR (St Gabriel-Brécy)

LANTHEUIL

PIERREPONT

SAINT GABRIEL

 

Creully sur Seulles - le Blason du porche du prieuré de Saint Gabriel

  • Lambert Edouard (1794-1870), conservateur de la bibliothèque publique de Bayeux et directeur de la Société des antiquaires de Normandie, a édité de nombreux travaux sur les localités de notre contrée comme des carnets de croquis et de notes sur des monuments de Normandie. Aux Archives Départementales du Calvados, j'ai retrouvé un de ses écrits sur le prieuré de saint Gabriel où il propose une explication sur le blason présent dans le porche d'entrée.
"....Un écusson chargé d’une bande et supporté par un ange. Ce sont les armes de la famille de Tournebu.
Il est probable qu’un membre de cette famille qui aurait fait construire cette porte y aura fait placer cet écusson.
 Une note a été ajoutée, entre parenthèse, au-dessus de l’écrit:  « ou plutôt celle du monastère »."

Dans l'Armorial général de France, dressé en vertu de l'édit de 1696 par Charles D'HOZIER (1697-1709), le blason du prieuré est représenté comme ci-dessous
L'autre blason présent au sein du prieuré est celui de l'abbaye de Fécamp.




6 juin 1944 - Un avion anglais survole Creully, Villiers le Sec et St Gabriel Brécy (Creully sur Seulles)...

Ce sont des recherches auprès de la "National Collection of Aerial Photography" qui me permettent de vous présenter ces clichés pris le 6 juin 1944. 
Saint Gabriel
Villiers le Sec

Creully sur Seulles - Le gisant de la chapelle du prieuré de Saint Gabriel Brécy.

Un jour dans la chapelle du magnifique prieuré de Saint Gabriel-Brécy on décida de coucher la femme du cœur.



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Creully sur Seulles - Retour des moines au prieuré de Saint Gabriel

Bruno Debrandt dit "le voyageur" sur les traces d'un assassin enquête en Haute-Loire près des moines de l'abbaye de Basse Combe. Ainsi le prieuré de Saint Gabriel-Brécy servit de cadre au tournage. Série diffusée le 24 janvier sur FR3.